7ème rallye du Fenouillèdes

Les 2 et 3 décembre 1989

En cette année 1989, de nombreux changements et nouveautés eurent lieu dans le petit monde du sport auto dans les Pyrénées-Orientales.
Tout d’abord en avril, le rallye du Roussillon fut complètement réorganisé, relégué en épreuve régionale, déplacé à Amélie les Bains et rebaptisé en 1ère édition du rallye du Roussillon-Vallespir.
Puis en juin, le rallye des Garrigues fit son entrée dans les P.O pour une étape dans l’arrière pays du Fenouillèdes.
Enfin, pour cette édition du Fenouillèdes et grâce aux accords avec les communes mises en place l’année précédente, le parcours resta totalement identique à l’édition 1988.

De ce fait, on retrouva cette année encore un parcours de 241,5 km dont 93,6 km dES et 147,9 de liaison avec 3 ES à parcourir 3 fois.

Samedi 2 décembre 1989 : Après midi. Vérifications techniques et administratives à Estagel devant la maison des associations, de 14h à 19h.

Dimanche 3 décembre 1989 : Départ de la 1ère voiture d'Estagel à 8h15.

Liaison par Estagel – Latour de France - Cuxous - Cassagnes.

ES 1-4-7 : Cassagnes - Caramany.
Cassagnes, sortie du village sur D17, monument aux morts – Col de Bélesta – Caramany, sur D21, après petit pont : 7,2 km.

3 passages à 8h18, 10h19 et 12h20.

Liaison par Caramany – Ansignan.

ES 2-5-8 : Ansignan - Maury.
Ansignan, sortie du village sur D619 – St Arnac – Carrières – Maury sur D19, 100m avant le passage à niveau : 15,3 km.

Liaison par Maury - Mas Camps – Tautavel.

ES 3-6-9 : Tautavel - Château de Jau (Cave).
Tautavel, sortie du village sur D59 – Château de Jau, 300m avant le carrefour Mas de Jau-Cases de Pènes  : 8,7 km.

3 passages à 9h24, 11h25 et 13h26.

Liaison par Cases de Pênes - Estagel.

Assistance à la cave coopérative d’Estagel.
Arrivée et remise des prix à Estagel.

Faits marquants :
L’ES2 sera annulée suite à la violente sortie de route de l’équipage Arboux-Vergès.
Des réclamations seront faites suite à cette annulation de la part des pilotes du Gr F qui partaient en dernière position. Les abandons de Serge Sastre et Philippe Touren atténueront les contestations.
Enfin, Bernard Adell écopa maladroitement, pour ne pas dire bêtement, de 40s de pénalisation offrant la victoire à Jean-François Bérenguer.

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